La guerre en Ukraine vue par Larry Towell
Le photographe Larry Towell découvre l’Ukraine en 2014, alors qu’il assiste aux derniers jours de la Révolution de Maïdan. Ce premier voyage marque le début
Le photographe Larry Towell découvre l’Ukraine en 2014, alors qu’il assiste aux derniers jours de la Révolution de Maïdan. Ce premier voyage marque le début
L’année dernière, FotoEvidence publiait le livre Ukraine : A War Crime, qui retrace la première année de l’invasion russe en Ukraine. Cette année, la maison d’édition publie un deuxième volume intitulé Ukraine : Love+War, qui examine cette fois l’agression de la Russie contre l’Ukraine au cours de la dernière décennie, ajoutant du contexte au conflit actuel.
La photojournaliste Anastasia Taylor-Lind sillonne l’Ukraine depuis plus de dix ans et dresse le portrait d’un pays et d’une population dont le quotidien est rythmé par la guerre. Son travail, réalisé avec son amie la journaliste ukrainienne Alisa Sopova, « Ukraine : Photographs from the Frontline », est exposé au Mémorial de Verdun, offrant un échos parfois troublant avec les images de 14-18. Son projet « À 5 km du front » est également présenté au festival Visa pour l’image de Perpignan. Elle raconte pour Blind son expérience du front et sa vision du métier.
Au Hangar, à Bruxelles, une exposition collective met à l’honneur trois générations de photographes ukrainiens. « Generations of Resilience » offre un témoignage visuel, non seulement de la réalité de la guerre, mais aussi de la résilience et de l’évolution artistique d’une nation façonnée par son histoire.
Que peuvent les images et les mots en temps de guerre ? Incapables de s’opposer aux armes, impuissants à changer une réalité que la violence
Le livre Ukraine: A War Crime, rassemble le travail de 93 photographes qui ont couvert la première année de la guerre en Ukraine, documentant les combats, leurs conséquences sur la population et apportant des témoignages visuels des crimes de guerre.
Alors que la guerre en Ukraine a débuté il y a maintenant tout juste un an, le Centre Photographique de Marseille présente « Ukraine(s) », une exposition rassemblant trois projets visuels qui explorent ce territoire et son héritage culturel avant son invasion.
Un reportage par le photographe Sasha Maslov / Institute.
Depuis 34 ans, le festival international de photojournalisme de Perpignan se fait l’écho des soubresauts du monde. L’Ukraine est forcément en première ligne de cette édition 2022 qui n’oublie pas pour autant les autres crises et s’autorise même quelques respirations.

Le photographe franco-américain, connu pour sa documentation de la condition humaine depuis 40 ans, décrit son expérience aux côtés des réfugiés ukrainiens, depuis le jour où il a quitté son appartement à Paris, jusqu’à son retour.
Dans le village de Kontsovo, près de la frontière slovaque, le photographe Ismail Ferdous a demandé à plusieurs déplacés ukrainiens de poser sur la scène d’un théâtre aux couleurs de leur pays, recueillant par la même occasion leur histoire.
Le reporter américain, habitué à la couverture des conflits, met en garde les plus jeunes journalistes, partis couvrir le conflit, parfois sans préparation ou expérience.
Alors que l’offensive russe en Ukraine ne faiblit pas, Blind a recueilli les témoignages et images de photographes ukrainiens sur le terrain. Ils racontent leur histoire.
Sergeï Bubka est le plus illustre champion ukrainien de l’histoire. En cette période de soutien à son pays, Jean-Denis Walter, ancien rédacteur en chef de L’Equipe Magazine, aujourd’hui galeriste spécialisé en photographie de sport, raconte cette image, réalisée par Gérard Rancinan.

Dans le livre Pharmakon / Ambulance 1994-1995, plongée dans le quotidien sordide des ambulanciers à Luhansk, en Ukraine.
Depuis les années 1980, Ed Kashi documente les questions sociales et géopolitiques qui façonnent notre époque. Son nouveau livre, A Period in Time: Looking Back while Moving Forward (1977–2022), est une vaste rétrospective de son œuvre photographique, retraçant un demi-siècle de reportages à travers le monde.
Pour sa 37e édition, Visa pour l’image continue de nous montrer frontalement, par l’image et sa légende, l’état du monde tel qu’il est, et les crises qu’il traverse.
Plus qu’aucun autre photographe de sa génération, Sebastião Salgado (1944-2025) a cristallisé les enjeux du photojournalisme de la fin du 20e siècle et du début du 21e. Souvenirs de trois rencontres avec un homme du monde, qui ne s’est jamais senti « différent des autres ».
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« Mes yeux, objets patients. MYOP, 20 Years of a Story in Motion », présentée aux Rencontres de la Photographie d’Arles, célèbre les 20 ans de l’agence MYOP à travers une exposition-manifeste de 400 m² sur le sens du témoignage photographique.
Dans l’exposition « Azov Horizons », présentée dans le cadre du festival Les Rencontres de la Photographie d’Arles, le photographe Patrick Wack a documenté une région autrefois idyllique, aujourd’hui suspendue entre violence et silence, devenue l’ombre de ce qu’elle était avant l’invasion du sud de l’Ukraine.
La photographie a toujours été bien plus qu’un simple médium : c’est un langage, un témoignage, un moteur de transformation. Des premières images animées aux
Un manifeste photographique centré autour du thème de la manifestation, né de la rencontre entre Amnesty International et l’agence MYOP. Un ouvrage de feu et de regards, un cri visuel et politique, où l’image devient langage et la foule, sujet vivant.
Dans une année marquée par les conflits mondiaux, les catastrophes climatiques et les vagues migratoires massives, le prix World Press Photo de l’année 2025 s’impose
Jusqu’au 23 mars 2025 au Jeu de Paume à Paris, le festival « Paysages Mouvants » nous propose de nous immerger dans des territoires capturés par 15 artistes. Une série d’installations nous faisant voyager de la création du monde à sa disparition.
Alors que le président Donald Trump est en fonction depuis le 20 janvier 2025, Magnum Photos publie un ouvrage collectif autour du thème des États-Unis, inspiré par sa longue histoire de récit collectif.
Le livre « Epitome » de l’artiste Vic Bakin, basé à Kiev, compile des photographies d’archives avec de nouvelles images de l’Ukraine déchirée par la guerre, explorant des thèmes comme la fragilité, la masculinité, la guerre et l’incertitude.
Le festival Portrait(s) de Vichy met à l’honneur l’artiste britannique Nadav Kander, reconnu comme l’un des grands portraitistes de son temps.
Le photographe américain est un l’honneur avec une exposition aux Franciscaines, à Deauville, ainsi qu’un magnifique livre associé, publié par Atelier EXB. Ce dernier renferme ses plus célèbres photos, une sélection d’images moins connues et une pléiade d’histoires et d’anecdotes qui alimentent un peu plus le mythe.
Le festival annuel présente un programme varié, entre images signées de maîtres et de stars contemporaines, mais ce sont bien les photographes moins connus qui y volent la vedette.
Près de 30 ans après la fin de la guerre en Bosnie-Herzégovine, le photographe Fabrice Dekoninck revient sur la mémoire de ceux qui ont survécu au siège de Sarajevo, à l’épuration ethnique de la région de Prijedor et au génocide de Srebrenica dans un ouvrage intitulé Between Fears and Hope.
Le Prix Bayeux Calvados-Normandie célèbre sa 30e édition et continue de saluer par l’image le travail des photojournalistes à travers le monde. Hommage cette année aux correspondants de guerre grands témoins du débarquement de Normandie à l’aube du 80e anniversaire.
Avec l’exposition itinérante « Close Enough », l’agence Magnum présente les nouvelles expressions photographiques des 12 femmes de la célèbre agence. Une exposition à découvrir au Hangar de Bruxelles.
Pour sa 14e édition, le festival Zoom Photo de Saguenay, au Nord du Québec, expose une vingtaine de photographes et l’exposition itinérante World Press Photo. Reportage au coeur d’un petit festival de la photo qui chaque année gagne en notoriété sans pour autant perdre son identité.
Avec le livre Fragments, l’agence MYOP revient sur un an de conflit en Ukraine grâce aux travaux singuliers de six photographes membres. Tous les bénéfices seront reversés à une ONG ukrainienne d’aide aux civils. Une initiative à l’image de cette agence qui se veut aussi collectif.
Ismail Ferdous est un photographe qui documente les questions sociales et humanitaires du monde contemporain. Pour Blind, il parle de son parcours, de sa curiosité pour le monde et les histoires des gens.
De la révolte iranienne au monde des start-up californiennes en passant par la guerre en Ukraine, l’Afghanistan ou les catastrophes climatiques, la 35e édition du festival international du photojournalisme de Perpignan continue de nous rappeler aux tragédies du monde.
La vallée de la Loire produit décidément de bons crus, même en photographie. Les Promenades photographiques entraînent le public à travers 15 expositions dans toute la ville de Blois. Une ode au mouvement.
Comment gérer la vie familiale lorsque notre profession empiète sur notre sphère privée ? Pour Blind, trois photojournalistes partagent leurs expériences.
Le Mois international du photojournalisme à Padoue, en Italie, rassemble des photographes du monde entier et appelle au débat autour de tables rondes sur des questions d’actualités, et sur l’éthique du journalisme.
Chaque année, le concours World Press Photo récompense les photos les plus marquantes de l’année. Le photographe Evgeniy Maloletka a reçu ce jeudi 20 avril le prix World Press Photo de l’année pour son cliché sur la maternité assiégée de Marioupol, en Ukraine.
Le photographe américain Joe Perri, 32 ans, a produit une série dans la ville de Donetsk, dans le Donbass, intitulée « Vitaly’s House ». Un projet réalisé 4 mois avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
Si ces dernières années le monde culturel s’ouvre à tous les genres photographiques, ne faisant plus de hiérarchie entre la mode, le reportage, les clichés amateurs… La photographie de sport reste à l’écart de cet élan général. Pour le moment.
Le livre « Stuck In Here : A Shift of the Gaze » rassemble des images et des témoignages de jeunes Ukrainiens pris au piège de la guerre. Sur une idée de la photographe et journaliste française Orianne Ciantar Olive, le livre offre un aperçu des moments de la vie quotidienne au-delà des fracas de la guerre.
Du 19 janvier au 31 mars 2023, Matt Wilson expose ses travaux au Leica Store du Faubourg Saint-Honoré, à Paris. Entre paysages irréels et images prises sur le vif, plongée dans l’univers du globe-trotter anglo-saxon.