Depuis plus de vingt ans, la photographe française Agathe Poupeney, membre de Divergences Images et ambassadrice Fujifilm, est le témoin discret, mais essentiel de l’univers de l’opéra et de la danse. Du Palais Garnier au Château de Versailles, elle immortalise les artistes avec une sensibilité à la fois imperceptible et indispensable. Bien que sa longue chevelure rousse la rende immédiatement reconnaissable, ses collègues affirment qu’elle possède un don rare : celui de se fondre dans les coulisses et de disparaître au cœur des répétitions.
DxO PhotoLab 9
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« Pendant les répétitions, il m’arrivait d’oublier qu’elle était là », se remémore le danseur Étoile Stéphane Bullion. « Et puis, plus tard, je découvrais ses images, pleines d’émotion, captées sous des angles insoupçonnés. Ses photos semblent vibrer, comme si le mouvement continuait à vivre en elles. »
Le talent d’Agathe réside dans la sensibilité dont elle fait montre vis-à-vis des interprètes et dans son instinct du timing. Elle travaille souvent dans une obscurité quasi totale, face à des miroirs, une faible lumière et des gestes fugitifs. Pourtant, ses images révèlent toujours la tension, le rythme et la grâce de la scène. Qu’il s’agisse de la majesté d’une représentation à l’Opéra de Paris ou de l’intimité d’une salle de répétition, son objectif est de traduire non seulement le visible, mais aussi et surtout le ressenti.
L’émotion du spectacle vivant
Agathe définit son objectif en toute simplicité : être fidèle à l’émotion de la scène. Elle déclenche son obturateur au rythme de la musique, anticipant les temps forts qui donnent souffle et pulsation à la chorégraphie. Ses clichés en noir et blanc se distinguent par leur profondeur et leur contraste, tandis que son travail en couleur sublime les répétitions grâce à une palette chromatique soigneusement choisie, conférant à ces instants une dimension théâtrale et lumineuse.
La discrétion et la confiance sont au cœur de sa démarche. Elle accueille les danseurs chaleureusement au début d’un projet, puis s’efface, jusqu’à devenir invisible. C’est ainsi, nous livre-t-elle, qu’elle parvient à saisir ces instants fragiles et suspendus qui définissent le spectacle vivant.
Des outils au service de la créativité
Derrière cette approche poétique se cache un défi très concret : photographier la danse, c’est affronter des conditions lumineuses complexes et des sensibilités ISO extrêmes. Agathe travaille régulièrement à 12 800 ISO, afin de figer le mouvement sans perdre l’atmosphère. Pour elle, DxO PhotoLab n’est pas seulement un logiciel, c’est l’outil qui lui permet de restituer la scène telle qu’elle la vie.
« PhotoLab m’affranchit des limites techniques », explique-t-elle. « Je peux désormais capturer des scènes qui étaient autrefois impossibles. La réduction du bruit, les corrections optiques, la précision dans la gestion de la lumière, tout cela me donne une liberté et une confiance totales. Je peux me concentrer sur le récit, plutôt que sur les contraintes. »
L’arrivée des Masques IA dans DxO PhotoLab 9 a révolutionné sa manière de travailler. Là où elle passait des heures à équilibrer manuellement un danseur éclairé devant un décor sombre, elle peut désormais réaliser des sélections instantanées, appliquer ses préréglages et livrer des images finalisées en quelques heures : un gain crucial, alors que les clients attendent souvent plusieurs dizaines de photos le soir même.
DxO, l’excellence au service des photographes
La fidélité d’Agathe à PhotoLab illustre le rôle pionnier de DxO depuis 2003 : offrir aux photographes des outils qui subliment leur art. Les scientifiques de DxO ont développé des technologies de référence comme DeepPRIME pour la réduction du bruit, les Modules DxO avec profils optiques mesurés en laboratoire, et désormais le masquage intelligent par IA. Résultat : un logiciel qui allie rigueur scientifique et liberté créative.
AVANT
APRÈS
DxO PhotoLab 9, le début d’une nouvelle ère
Le lancement de DxO PhotoLab 9 marque une nouvelle étape de cette évolution. Masques IA avancés, réglages locaux pour le débruitage et la netteté, flux de travail optimisé avec renommage par lot, compatibilité de fichiers étendue… C’est aujourd’hui l’environnement de développement RAW le plus complet et le plus puissant pour les photographes exigeants.
Pour Agathe, cela signifie simplement qu’elle peut suivre le rythme de l’art qu’elle aime par-dessus tout : l’énergie fugace du spectacle vivant. « Les bons outils ouvrent les portes », confie-t-elle. « Ils vous permettent d’oser davantage, de créer plus, et de capturer la beauté de l’instant. »
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Le nouveau livre photo d’Agathe Poupeney, OPERA(S) : Art total, paraît en ce mois d’octobre et est déjà disponible en précommande.