
Lieux de genocides, vêtements des victimes
La galerie Deepest Darkest présente « How We See The World» et « The Day I Became Another Genocide Victim », deux séries du photographe Barry Salzman, à Paris Photo.
La galerie Deepest Darkest présente « How We See The World» et « The Day I Became Another Genocide Victim », deux séries du photographe Barry Salzman, à Paris Photo.
Lee Shulman, créateur de The Anonymous Project, a invité Blind dans son petit atelier parisien. Là où le collectionneur et son équipe reçoivent, sélectionnent et trient des milliers de diapositives d’inconnus avant de leur donner une seconde vie.
En trois expositions parisiennes, dont l’une chez Suzanne Tarasiève, l’artiste ukrainien Boris Mikhaïlov prouve combien son œuvre, se jouant des stéréotypes, impose une esthétique sans hypocrisie.
Dans le livre Infinity Goes Up On Trial, Alan Chin explore la géographie, l’idéologie et l’histoire des Etats-Unis, son pays d’origine, en quête des mythes nationaux mis à mal par le COVID-19, le mouvement Black Lives Matter, ou l’insurrection et l’assaut du Capitole.
La population peule est au cœur des tensions qui secouent l’équilibre d’une partie du continent africain. Lauréat de l’édition 2020 du Prix de Photographie Marc Ladreit de Lacharrière, le photojournaliste Pascal Maitre, spécialiste de l’Afrique, dresse le portrait d’un mode de vie ancestral aujourd’hui menacé.
La bourse W. Eugene Smith en photographie humaniste a été attribuée à Maxim Dondyuk pour son projet intitulé Ukraine 2014/22, qui porte sur la bataille pour l’indépendance de son pays. La photographe Mary F. Calvert a quant à elle reçu la bourse Smith, et des prix spéciaux ont été décernés à Shirley Abrahamm et Amit Madeshiya, ainsi qu’à Ta Mwe.
La photographe Hailey Sadler témoigne de ses rencontres avec les femmes ukrainiennes pendant cette guerre qui révèle l’engagement de tout un pays.
Une rétrospective au Château de Laréole en Haute-Garonne retrace la carrière de cette grande photographe franco-américaine dont le travail monumental sonde les mondes invisibles de la prostitution, des transsexuels, des malades du SIDA, des femmes en prison ou encore des victimes des mines antipersonnel.
Pendant cinq ans, Yelena Yemchuk a photographié Odessa et ses habitants. C’était avant l’invasion russe.
Le dernier livre de Yelena Yemchuk est un voyage en trois chapitres, qui commence par la fin.
C’est dans la ville de Banská Štiavnica, en Slovaquie, que des Ukrainiens ont trouvé de l’aide auprès des habitants de la ville. Leur voyage vers leur pays d’accueil a été rude, et les effets de la guerre ont laissé des traces parfois invisibles sur ceux qui sont arrivés. Avec l’aide des locaux, ils s’efforcent aujourd’hui de se créer une nouvelle vie à l’abri des violences.
Le festival Cortona on the Move, en Italie, se concentre cette année sur la légitimité et la paternité du photographe, ainsi que sur les différentes applications de la photographie en dehors des domaines des beaux-arts et du documentaire.
Pendant quatre ans, la photographe Camilla de Maffei a exploré la région peu peuplée du delta du Danube, un labyrinthe d’eau et de marais surplombant la mer Noire.
Alors que la guerre en Ukraine se poursuit, les réfugiés continuent de fuir le conflit vers les pays voisins. En Slovaquie, les Ukrainiens fraîchement arrivés font tout pour s’intégrer à leur nouvel environnement.
L’autocratie a le vent en poupe. Affirmation peut-être évidente, mais qui s’enracine de plus en plus fermement dans le présent, même si l’on salue le
Membre de l’Agence VU’ depuis 2021, Guillaume Herbaut pose un regard aigu sur l’histoire et les faits d’actualité depuis plus de trente ans. Du photojournalisme
Alors que la guerre se poursuit en Ukraine et que de nombreux Russes tentent de quitter leur propre pays, nous revenons sur la série du photographe Bela Doka sur les idées de la jeunesse russe qui a historiquement soutenu le président.
Le photographe franco-slovène est l’invité d’honneur de la foire parisienne PhotoDoc. Une partie de son œuvre sera exposée, dont son travail sur les adolescents dans les prisons du monde entier. Son dernier livre, In Vivo, en est le témoignage.
Dans War (2014-2022) édité par 89 books, le photographe Oleksandr Glyadyelov traverse huit années de guerre en Ukraine.
Une vente de charité des clichés du photojournaliste se tient à la Ki Smith Gallery, en partenariat avec la Collection MUUS, pour récolter des dons en faveur du média ukrainien, The Kyiv Independent.
La troisième édition du festival Le champ des impossibles expose 32 artistes autour du thème de l’arbre, mêlant peinture, sculpture et photographie. Une manifestation à l’atmosphère champêtre qui sensibilise son public, local et invité, aux langages visuels modernes.
Huit mois après la précédente édition qui avait été décalée à l’automne à cause du Covid, Photo London revient à la Somerset House du 12
Le Musée de l’Armée dévoile pour la première fois ses archives photographiques pour une exposition qui retrace l’évolution et la représentation de l’image de guerre de 1849 à nos jours. Instructif et essentiel.
Les photojournalistes Carol Guzy et Farzana Wahidy ont également été distinguées. Ce prix, qui en est à sa huitième édition, est décerné à des femmes ayant fait preuve d’un courage et d’une humanité extraordinaires au cours de leurs reportages dans des zones d’instabilité et de conflit.
Alors que la guerre en Ukraine continue de faire rage, le flot de réfugiés continue d’affluer vers l’ouest aux frontières du pays. Tandis que les femmes et les enfants fuient, leurs maris, pères et frères restent pour combattre les Russes, mais d’autres refusent de quitter leur foyer. Le photographe Ismail Ferdous a photographié les adieux de ceux qui se préparent à combattre, de ceux qui fuient à l’étranger et de ceux qui choisissent de rester.
Le photographe Ismail Ferdous a documenté le quotidien des soldats ukrainiens stationnés à l’ouest.
A l’extrême ouest de l’Ukraine, dans l’oblast de Transcarpatie, la ville de Chop est un nœud ferroviaire vers la Hongrie et la Slovaquie. Les réfugiés y fuient la guerre et sont en quête de sécurité dans l’ouest du pays, ou de l’autre côté, sur le territoire des nations de l’OTAN.
En pleine guerre, le photographe Rafael Yaghobzadeh a documenté le réseau ferroviaire en Ukraine, et ses trains, indispensables moyens de transports aux millions de réfugiés. A la tombée de la nuit, lorsque les âmes sont moins nombreuses.
Le street artist a réalisé cette œuvre pour la couverture du magazine américain Time.
À 72 ans, Patrick Chauvel couvre la guerre en Ukraine pour Paris-Match. Quelques heures avant son départ, il a accueilli chez lui Blind pour revenir sur ses cinquante ans de photographie de guerre. Un demi-siècle d’histoire raconté dans l’album des 30 ans de Reporters sans frontières, 100 photos pour la liberté de la presse.
Le livre anti-guerre du photographe Mark Neville sur l’Ukraine transforme le travail documentaire en activisme.
Le photographe Ismail Ferdous, envoyé spécial pour Blind, a documenté durant une semaine le quotidien des réfugiés ukrainiens, au-delà des frontières de leur pays. Des images d’une profonde humanité.
La photographe ukrainienne Lisa Bukreyeva tient un journal de guerre depuis les premiers jours de l’invasion russe dans son pays.
On a dit qu’« écrire de la poésie après Auschwitz est barbare », dans la mesure où même la poésie – le premier des arts – nous
Depuis 2014, Rafael Yaghozbadeh continue de suivre le conflit en Ukraine, au-delà de la ligne de front.
Le centre photographique ImageSingulières de Sète (France) présente le travail de deux photographes impliqués dans la transmission d’un message écologique. « Bastard CountrySide » de Robin Friend et « Oil and Moss » de Igor Tereshkov y sont exposés jusqu’au 6 mars 2022.
Dans les années 1970, David Aschkenas a photographié Pittsburgh. Des images classiques qui font revivre le passé glorieux de la ville.
Première femme noire à avoir réalisé un shooting pour la couverture de Vogue en 2018, Nadine Ijewere sort sa première monographie aux éditions Prestel.
De la Russie actuelle, nous connaissons surtout la politique, le faste de Saint-Pétersbourg, les monuments de Moscou. Pour lever le voile sur le plus vaste État de la planète, Blind prend la route avec 4 jeunes photographes qui explorent son territoire comme sa mémoire.
La série « My Own Wings » (De mes propres ailes) des photographes Katia Repina et Carla Moral présente les histoires de personnes victimes de la notion restrictive de genre binaire.
Corentin Fohlen est photoreporter depuis 2005. L’Afghanistan, l’Ukraine, le Soudan… Il sillonne le monde pour documenter les tensions et les misères du monde. Souvent, comme un répit dans ce travail, il fait le portrait de célébrités en France. Personnalités politiques, réalisateurs, acteurs ou chanteurs, il faut à chaque fois « manipuler » son sujet comme il le dit pour en rendre une image inédite, surprenante.
En septembre 2018, le photographe Yegan Mazandarani entreprend un voyage en République Populaire de Donetsk, État sécessionniste, autoproclamé et non reconnu, à la frontière russo-ukrainienne pour y photographier ses habitants. Un livre rassemble ces images prises avec empathie.
Jonk parcourt le monde à la recherche de lieux abandonnés qu’il aime photographier. Il vient de publier un livre, Goodbye Lenin, sur des sites situés dans la partie Europe de l’Est de l’ex Union soviétique. Il nous a livré ses conseils et réflexions sur l’art de photographier des lieux abandonnés.
Pour la troisième année consécutive, Foam (ou Fotografiemuseum Amsterdam) expose ses nouveaux talents à la galerie Red Hook Labs à Brooklyn.
Le Festival consacré à ce grand thème de la photographie célèbre sa 7ème édition cet été. Panoplie de visages fixés par une jolie ribambelle d’artistes dont nous vous dévoilons le travail en avant-première.